L’inscription
M.L.H. J.16.1 est fragmentaire, mais elle permet de relever un nom de métier
des défunts. On a, en effet :
(5)
Ce
qui se déchiffre :
AHARI
ARTZANGO ETZA HARIOTZAN ASKENAZI
(5d)
Compte
tenu de « AHARI » : « bélier » et de ARTZA(I)N :
« berger », on peut traduire :
Des
restes mortuaires de bergers askenazis
(5t)